Le récit foisonnant de destins qui s’entrecroisent et se font mutuellement rebondir semble une marque de la littérature égyptienne. Que l’on pense à L’Immeuble Yacoubian, d’Alaa el-Aswani, ou à Mendiants et orgueilleux, d’Albert Cossery, la vie des Égyptiens y semble constamment prise dans un tourbillon d’événements tragi-comiques auxquels chacun finit par se soumettre avec un fatalisme teinté d’humour.
Critique : « L’Arche de Noé », Khaled el-Khamissi : sauve-qui-peut égyptien
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